ICOs are not dead

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Note aux lecteurs qui n’ont jamais souscrits à des ICOs.
Vous n’avez jamais eu à affronter un site à l’ergonomie et au design douteux parsemé d’une impressionnante quantité de texte explicatif en crypto-franglais doublée d’un petit bouton disclaimer en bas à gauche. Vous n’avez pas eu à acheter un token entre deux gouttes de sueurs à coup de copiés collés d’adresses indigestes et dont vous n’êtes jamais suffisamment sûr qu’elle soit la bonne. Et vous ne vous êtes jamais demandé après coup si votre opération était légale. Ou si ce n’était pas une arnaque. Ou si le smart contract n’allait pas buguer et bloquer votre investissement.

Et donc éprouvez-vous certainement quelques difficultés à comprendre pourquoi les ICO ne sont plus en vogue aujourd’hui par rapport à la vague de 2017.

On a testé French-ICO, un site qui cherche à rendre une souscription à une ICO sur Ethereum aussi simple qu’un achat de téléphone sur Backmarket. Et franchement, le pari est réussi.

Le projet à financer était le site en question. Hors temps de transaction, il nous a fallu moins de 6min entre l’inscription sur le site, lecture du pitch du projet et la finalisation du financement.

Deux raisons essentielles à cela : une ergonomie efficace et sans chichi, avec les bons boutons aux bons endroits, mais aussi l’intégration d’une technologie web3.0 permettant d’interconnecter votre wallet Brave, Opera ou Metamask avec le site. Cela rend l’expérience utilisateur infiniment plus fluide et plaisante.

Choix audacieux des concepteurs : vous enregistrez dès le début un unique wallet au moyen d’une transaction à 10 centimes une bonne fois pour toute. Ainsi, adieu les longues adresses à copier coller, les stress de piratages du presse-papier et cette intolérable question qu’on ne se posera plus : “Ai-je utilisé la bonne adresse ?”

En résumé, vous avez trois choses à faire. Sélectionner le projet à financer, rentrer un montant, appuyer sur OK. Amazon ne fait pas mieux.

Un autre fait d’arme de la plateforme française est d’avoir su cerner et améliorer l’état d’esprit de ses utilisateurs lors de leur navigation. En effet, quand vous manipulez une technologie dont on vous promet que les transactions sont irréversibles, rares sont ceux qui appuient sur le bouton avec un calme Olympien.
Mais ça et là, de façon imperceptible, French-ICO a su nous apporter un peu de sérénité. Vous comprenez en effet au fur et à mesure de votre progression sur le site que le smart contract utilisé par French-ICO est générique, donc non sujet à des bugs car audité, testé et retesté, que les acteurs parmis les plus sérieux s’occupent de la conformité et de la bonne conduite de votre opération, à savoir Zebitex, Synaps et Certik, que l’ICO à laquelle nous voulons souscrire est visée par l’AMF (la première en France !) et qu’il ne s’agit donc ni d’une arnaque, ni d’une opération de blanchiment d’argent illégal. Et les liens Etherscan du smart contact et de votre transaction par la suite qui vous confirment que vous avez à faire à un processus transparent.

L’ICO, dont la souscription approche 90% du softcap, peut être souscrite avec un bonus de 20% pendant 9 jours encore. Vous obtiendrez en retour des FICO dont French-ICO vous garantit le prix à 20 centimes minimum pour ses services. Ils vous permettront de souscrire aux futurs projets de French-ICO à un tarif préférentiel. En outre, vous pourrez revendre (ou racheter) des FICO sur la plateforme Zebitex.com.

Bref si vous voulez un aperçu de comment se financeront les projets dans le futur, on vous recommande le site made in France et c’est par ici.

Plus d’informations en visionnant la vidéo détaillée réalisée par Journal du Coin:

AVERTISSEMENT

L’investissement dans une offre au public de jetons telle que définie à l’article L. 552-3 du code monétaire et financier comporte des risques de perte partielle ou totale de l’investissement. Aucune garantie n’est donnée quant à la liquidité des jetons acquis au cours de l’offre, l’existence d’un marché secondaire de ces jetons, la valeur des jetons acquis au cours de l’offre et la contre-valeur de ces jetons en devise. Les jetons ne constituent pas des instruments financiers au sens de l’article L. 211-1 du code monétaire et financier et ne confèrent aucun autre droit que ceux décrits dans le document d’information. En outre, le cadre réglementaire applicable à l’offre et aux jetons ainsi que le régime fiscal applicable à la détention des jetons ne sont pas définis à ce jour dans certaines juridictions.
Le visa délivré par l’AMF ne porte que sur l’offre objet du document d’information. À l’issue de la clôture de l’offre, l’AMF n’effectuera aucun suivi de l’émetteur et de son projet. Toute communication postérieure à l’offre et relative à celle-ci ne fera l’objet d’aucune revue par l’AMF.

Le souscripteur est invité à consulter la rubrique 4 « facteurs de risques » du document d’information.


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Ceci est un article sponsorisé.

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