Projet Art Can Die : Et si les nouvelles technologies pouvaient sauver l’art ?

Vous aimeriez acheter un véritable objet d’art ? Mais savez-vous comment reconnaître une œuvre qui a vraiment de la valeur ? Avec Art Can Die, les vraies œuvres d’art n’ont jamais été aussi accessible au grand public. Découvrez une nouvelle façon d’investir dans l’art véritable en utilisant l’outil du futur le plus sécurisé et décentralisé : la blockchain.

​Qu’est-ce que le projet Art Can Die ?

​Une ambition : sauver l’art !

Le marché de l’art est énorme. Sa capitalisation est évaluée entre 70 et 800 milliards de dollars. Pourtant, force est de constater que le domaine reste encore dans les mains d’une petite élite.

Or, comme le soulignait Gaël Boven, co-fondateur de Art Can Die dans une interview pour BFM Business, « l’art nous concerne tous ». L’équipe du projet est convaincue que l’art joue un rôle vital pour inspirer les gens et leur permet de « se sentir humain ». C’est pourquoi Art Can Die entend briser les barrières qui limitent l’accès à l’art.

L’objectif est donc de faire la différence entre ce qui est réellement de l’art et ce qui n’en est pas, et de mettre en valeur les vrais talents auprès du grand public. Art Can Die s’attache à débusquer les artistes contemporains qui marqueront l’histoire, à l’image des grands noms comme Warhol, Picasso, Mozart ou encore Hitchcock.

​Vers un nouveau marché de l’art

Art Can Die ouvre la voie vers un marché de l’art « plus sécurisé, transparent, libre et démocratisé », où des artistes mieux financés produisent des œuvres qui profitent à toute la communauté.

Pour y parvenir, Art Can Die se place au croisement entre deux mondes : l’art et les nouvelles technologies. Au cœur des nouvelles technologies ainsi mises au profit de l’art, on trouve la blockchain. En effet, la blockchain permet l’échange d’informations entre des particuliers de façon décentralisée, transparente et sécurisée, sans présence d’intermédiaires.

Art Can Die rassemble ainsi un grande variété de contributeurs, notamment :

  • Les artistes ;
  • Les amateurs d’arts ;
  • Les investisseurs ;
  • Les utilisateurs de cryptos.

​L’équipe derrière Art Can Die

Le projet Art Can Die rassemble une équipe d’artistes, de spécialistes de l’art, d’avocats et d’experts en cryptomonnaies.

A l’origine du projet, on trouve principalement 3 hommes : Jean-Marc Goossens, Gaël Boven et Wayn Traub.

​Les bases de l’écosystème Art Can Die

Art Can Die est un écosystème décentralisé qui regroupe le monde de l’art et des technologies blockchain innovantes. Découvrons les bases de cet écosystème.

​La blockchain et les NFT

La blockchain rend possible le processus de tokenisation. Ainsi, on peut transformer une œuvre d’art unique en un actif numérique appelé NFT (Non Fungible Token) ou jeton non fongible.

Un NFT est un actif numérique stocké sur la blockchain. Par définition, un NFT est unique. Étant « non fongible », il ne peut pas être négocié/échangé contre un autre actif du même genre (à l’inverse des actifs fongibles comme la monnaie fiat ou la cryptomonnaie).

Ce processus de tokenisation s’applique à toutes sortes de pièces artistiques : peinture, film, série TV, musique, sculpture, etc. En convertissant une œuvre en NFT, on peut réaliser des transactions d’œuvres d’art de façon plus rapide et plus sûre.

​Le DAO Die

Toute la puissance de la blockchain et du processus de tokenisation est concentrée dans le DAO (« decentralized autonomous organization ») développé par Art Can Die. Baptisé Die, le DAO Die est un écosystème qui facilite les synergies entre les artistes, les investisseurs et les consommateurs d’art.

​Le token $DIE

Pour fonctionner, l’écosystème Art Can Die utilise un token de gouvernance : le DIE Coin ($DIE). Il s’agit d’un token multichaîne disponible en jeton BEP20 sur la blockchain Binance Smart Chain et en jeton ERC20 sur Ethereum.

Les détenteurs de jeton utilitaire $DIE obtiennent :

  • Des droits de consultance (influence sur les projets artistiques) ;
  • Des droits de requête (organisation de collecte de fonds).

Au total, seuls 21 millions de Tokens $DIE seront disponibles. Voici la répartition prévue des tokens $DIE :

  • 35 % mis en vente
  • 20 % pour les artistes
  • 15 % en récompense de staking et liquidité
  • 10 % pour l’équipe et les conseillers
  • 8 % de réserve
  • 12 % pour le DAO et les actions marketing (airdrops et événements promotionnels)

Les 35 % mis en vente représentent donc 7 350 000 tokens. Déjà 2 millions de $DIE ont été vendus lors de la prévente. La vente publique des 5 350 000 coins restants est en cours. Le prix de vente d’un jeton $DIE est fixé à 0,40 $, et le minimum d’achat est de 100 $.

En achetant des jetons $DIE, vous pouvez :

  • Participer au développement des projets Art Can Die ;
  • Staker les jetons pour gagner des revenus passifs.

​Art Can Die soutient déjà de grands projets

Art Can Die participe déjà à une dizaine de projets innovants comme :

  • Le film documentaire « Everest Recycling » avec le réalisateur français Jean-Michel Jorda ;
  • Les œuvres d’art physiques et numériques du mystérieux Director Jacq ;
  • L’exposition des œuvres de Phannapast sur les écrans géants de Times Square (New York) ;
  • Le site immersif « The New Ark » de Director Jacq.

Rejoignez la communauté Art Can Die et contribuez à sauver l’art !

 

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Avertissement: Cet article est un contenu promotionnel et ne constitue pas un conseil à l’investissement. Faites vos propres recherches et n’investissez que l’argent que vous pouvez vous permettre de perdre.